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Tortues au fil de la presse et des sites.
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Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Mer 7 Déc 2011 - 17:40
le Progrés fr.Publié le 06/05/2011
Insolite. Un jeune homme s’en prend à des tortues au parc de la Tête d’Or
******************************
Par jeu ou par provocation, il a lancé deux reptiles avant d’être arrêté
Un jeune homme de bientôt 18 ans, originaire de Mions, a passé plusieurs heures en garde à vue, pour avoir malmené deux tortues aquatiques du parc de la Tête d’Or à Lyon (6 e). Mercredi, vers 20 h 30, il traînait au parc avec un groupe d’amis et, probablement pour se distinguer, il s’est approché du centre de récupération des tortues de Floride.
Depuis la fin des années soixante-dix, le parc de la Tête d’or recueille auprès des particuliers ces tortues vendues en animalerie de 1980 à 1997, année où l’Union Européenne a interdit leur importation. Dans ce bassin, séparé du public par un tube de béton, elles sont des centaines à mener une vie paisible, passant de nombreuses heures à se chauffer au soleil. Aujourd’hui, elles seraient environ 1 000 à prospérer au parc. Jusqu’à hier, elles n’avaient jamais été inquiétées. Dans le bassin, le jeune homme en a attrapé une, a commencé à jouer avec et comme un passant lui reprochait de lui faire mal, il a lancé le reptile dans l’eau. Une autre tortue a subi un sort identique, lancée à plusieurs mètres par le jeune homme qui a finalement été interpellé par la police municipale, puis remis à la Police nationale. Lors de sa garde à vue, il a indiqué avoir jeté la tortue parce qu’elle l’avait mordue. Les deux reptiles n’ont, semble-t-il, pas trop souffert de la mésaventure et le jeune homme a été libéré hier après-midi, avec une convocation ultérieure à la maison de justice et du droit. La Ville de Lyon a déposé plainte.
Ci-dessous une vue des tortues de la tête d'or.
Insolite. Un jeune homme s’en prend à des tortues au parc de la Tête d’Or
******************************
Par jeu ou par provocation, il a lancé deux reptiles avant d’être arrêté
Un jeune homme de bientôt 18 ans, originaire de Mions, a passé plusieurs heures en garde à vue, pour avoir malmené deux tortues aquatiques du parc de la Tête d’Or à Lyon (6 e). Mercredi, vers 20 h 30, il traînait au parc avec un groupe d’amis et, probablement pour se distinguer, il s’est approché du centre de récupération des tortues de Floride.
Depuis la fin des années soixante-dix, le parc de la Tête d’or recueille auprès des particuliers ces tortues vendues en animalerie de 1980 à 1997, année où l’Union Européenne a interdit leur importation. Dans ce bassin, séparé du public par un tube de béton, elles sont des centaines à mener une vie paisible, passant de nombreuses heures à se chauffer au soleil. Aujourd’hui, elles seraient environ 1 000 à prospérer au parc. Jusqu’à hier, elles n’avaient jamais été inquiétées. Dans le bassin, le jeune homme en a attrapé une, a commencé à jouer avec et comme un passant lui reprochait de lui faire mal, il a lancé le reptile dans l’eau. Une autre tortue a subi un sort identique, lancée à plusieurs mètres par le jeune homme qui a finalement été interpellé par la police municipale, puis remis à la Police nationale. Lors de sa garde à vue, il a indiqué avoir jeté la tortue parce qu’elle l’avait mordue. Les deux reptiles n’ont, semble-t-il, pas trop souffert de la mésaventure et le jeune homme a été libéré hier après-midi, avec une convocation ultérieure à la maison de justice et du droit. La Ville de Lyon a déposé plainte.
Ci-dessous une vue des tortues de la tête d'or.
Dernière édition par Admin le Lun 30 Avr 2012 - 9:30, édité 2 fois
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Un site ppour venir en aide aux tortues marines.
Admin Mer 7 Déc 2011 - 17:49
A la recherche d’œufs de tortues pour Pâques
Et si pour Pâques vous partiez protéger les œufs de tortues au Mexique au lieu de chercher des œufs en chocolat ? Projects Abroad propose une mission d’écovolontariat au Mexique afin de protéger les tortues marine du littoral.
Les tortues de mer menacées
Espèce menacée, les tortues marines ne souffrent pas uniquement de la pollution de la mer, mais aussi du braconnage. Lorsque les tortues viennent sur des plages tropicales pour pondre, les œufs sont fréquemment déterrés pour être vendus comme délicatesse sur des marchés locaux, tandis que les adultes sont sauvagement tués pour transformer leurs écailles en bijoux !
L’aide des volontaires
Une stratégie de protection efficace est de déplacer des œufs vers des plages protégées et de relâcher les jeunes tortues dans la mer lorsqu’ils éclosent. C’est ainsi que nos écovolontaires patrouillent pas moins de 30 km de plage de sable toutes les nuits (à pied et sur des quads) pour localiser et déplacer les nids.
De cette manière, nous sauvons tous les ans des milliers de tortues de cinq espèces :
Tortue olivâtre ou tortue bâtarde
Tortue verte ou tortue franche
Tortue caouanne
L’immense tortue luth (photo)
Tortue noire
Plus d’infos : http://www.projects-abroad.fr/pays/mexique-benevolat-amerique-latine/ecovolontariat/
Et si pour Pâques vous partiez protéger les œufs de tortues au Mexique au lieu de chercher des œufs en chocolat ? Projects Abroad propose une mission d’écovolontariat au Mexique afin de protéger les tortues marine du littoral.
Les tortues de mer menacées
Espèce menacée, les tortues marines ne souffrent pas uniquement de la pollution de la mer, mais aussi du braconnage. Lorsque les tortues viennent sur des plages tropicales pour pondre, les œufs sont fréquemment déterrés pour être vendus comme délicatesse sur des marchés locaux, tandis que les adultes sont sauvagement tués pour transformer leurs écailles en bijoux !
L’aide des volontaires
Une stratégie de protection efficace est de déplacer des œufs vers des plages protégées et de relâcher les jeunes tortues dans la mer lorsqu’ils éclosent. C’est ainsi que nos écovolontaires patrouillent pas moins de 30 km de plage de sable toutes les nuits (à pied et sur des quads) pour localiser et déplacer les nids.
De cette manière, nous sauvons tous les ans des milliers de tortues de cinq espèces :
Tortue olivâtre ou tortue bâtarde
Tortue verte ou tortue franche
Tortue caouanne
L’immense tortue luth (photo)
Tortue noire
Plus d’infos : http://www.projects-abroad.fr/pays/mexique-benevolat-amerique-latine/ecovolontariat/
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Jeu 8 Déc 2011 - 18:23
...super instructif ton reportage sur les tortues , l' autre c..de Lyon un peu de baston lui ferait du bien.... 
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Jeu 23 Fév 2012 - 14:41
France Presse, janvier 2012.
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Zimbabwe - Quatre chinois arrêtés pour avoir tué environ 40 tortues
Quatre ressortissants chinois ont été arrêtés jeudi au Zimbabwe, accusés d'avoir tué une quarantaine de tortues pour leur viande, a annoncé samedi un quotidien de Harare.
Selon The Herald, qui cite une Ong de défense des animaux, les quatre hommes ont été interpellés à Bikita, un village du sud-est du pays, lors d'une opération de la police des parcs naturels (ZNSPCA).
"Sur la propriété de ces Chinois, nous avons récupéré 13 tortues vivantes, mais aussi de la viande et les squelettes d'une quarantaine de tortues", a indiqué Ed Lance, le chef de la SZSPCA, cité par le quotidien.
"Les quatre hommes sont en détention et dans l'attente d'une expulsion", a-t-il poursuivi>.
Selon des villageois interrogés par la police, les tortues étaient jetées vivantes dans de l'eau bouillante pour séparer la chair de la carapace.
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Zimbabwe - Quatre chinois arrêtés pour avoir tué environ 40 tortues
Quatre ressortissants chinois ont été arrêtés jeudi au Zimbabwe, accusés d'avoir tué une quarantaine de tortues pour leur viande, a annoncé samedi un quotidien de Harare.
Selon The Herald, qui cite une Ong de défense des animaux, les quatre hommes ont été interpellés à Bikita, un village du sud-est du pays, lors d'une opération de la police des parcs naturels (ZNSPCA).
"Sur la propriété de ces Chinois, nous avons récupéré 13 tortues vivantes, mais aussi de la viande et les squelettes d'une quarantaine de tortues", a indiqué Ed Lance, le chef de la SZSPCA, cité par le quotidien.
"Les quatre hommes sont en détention et dans l'attente d'une expulsion", a-t-il poursuivi>.
Selon des villageois interrogés par la police, les tortues étaient jetées vivantes dans de l'eau bouillante pour séparer la chair de la carapace.
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Anna06 Jeu 23 Fév 2012 - 15:39
Pffffffffffffff! bande de C** 
Il faudrait leurs faire le même sort allez zou
Il faudrait leurs faire le même sort allez zou
Anna06- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Jeu 23 Fév 2012 - 15:48
oh!! c'est horrible elles devaient mettre un bon moment à mourir vu l'épaisseur de leur carapace , on fait la même chose aux crabes et aux homards mais la carapace est moins épaisse je suppose ... 
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Manu Ven 24 Fév 2012 - 3:26
C'est vraiment révoltant, ce genre de connerie, faire souffrir une bête inutilement...
Ce serait se mettre à leur niveau... Bien bas, très bas... Même s'ils le méritent...Anna06 a écrit:Pffffffffffffff! bande de C**
Il faudrait leurs faire le même sort allez zou
Manu- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Ven 24 Fév 2012 - 12:07
j'ai souvent vue des reportages où " la mise à mort" est encore plus cruelle je ne veux pas en dire plus.. 
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Ven 24 Fév 2012 - 12:55
Manu a écrit:C'est vraiment révoltant, ce genre de connerie, faire souffrir une bête inutilement...Ce serait se mettre à leur niveau... Bien bas, très bas... Même s'ils le méritent...Anna06 a écrit:Pffffffffffffff! bande de C**
Il faudrait leurs faire le même sort allez zou
Oui, je pense que les mouvements pulsionnels aussi compréhensibles qu'ils soient doivent être réprimés sinon on en reste au œil pour œil, dent pour dent ...mais ceci dit, chacun pense la même chose que toi Anna.
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Une espèce de tortue supposée éteinte refait surface aux Galapagos
Admin Mar 28 Fév 2012 - 20:49
LEMONDE.FR | 09.01.12
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Une espèce rare de tortue géante des îles Galapagos que l'on croyait éteinte il y a plus de cent cinquante ans ans aurait fait sa réapparition en très petit nombre, selon des travaux publiés lundi 9 janvier aux Etats-Unis.
Les chercheurs américains sont parvenus à cette conclusion après qu'ils eurent retrouvé la signature génétique de cette tortue, dite Chelonoidis elephantopus, dans l'ADN de ses descendants hybrides. "Cette découverte donne un nouveau souffle aux efforts de protection des tortues menacées des îles Galapagos", estime Ryan Garrick, de l'université de Yale, l'un des auteurs de l'étude parue dans la revue américaine Current Biology datée du 10 janvier.
Les tortues des Galapagos sont célèbres pour avoir inspiré les idées du naturaliste britannique Charles Darwin sur la théorie de l'évolution par la sélection naturelle, lors de son passage dans cette région. Ces tortues peuvent peser près de 400 kilos, mesurer plus de 1,80 mètre de long et vivre plus de cent ans. Aujourd'hui, plusieurs des treize espèces restantes de tortues des Galapagos sont considérées comme en grand danger d'extinction.
TRANSPORT PAR DES PIRATES OU DES BALEINIERS
La tortue Chelonoidis elephantopus, ou C. elephantopus, se trouvait à l'origine uniquement sur l'île de Floreana et s'était, croyait-on, éteinte peu après le voyage historique de Darwin aux Galapagos, en 1835.
Le groupe de chercheurs de Yale a détecté les toutes premières traces génétiques de ces tortues dans l'ADN de onze tortues appartenant à une autre espèce dite C. becki et vivant sur l'île d'Isabela, à proximité d'un volcan actif. Le transport de tortues d'une île à l'autre par des pirates ou des baleiniers n'était pas rare dans les années 1800, relèvent ces chercheurs.
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Une espèce rare de tortue géante des îles Galapagos que l'on croyait éteinte il y a plus de cent cinquante ans ans aurait fait sa réapparition en très petit nombre, selon des travaux publiés lundi 9 janvier aux Etats-Unis.
Les chercheurs américains sont parvenus à cette conclusion après qu'ils eurent retrouvé la signature génétique de cette tortue, dite Chelonoidis elephantopus, dans l'ADN de ses descendants hybrides. "Cette découverte donne un nouveau souffle aux efforts de protection des tortues menacées des îles Galapagos", estime Ryan Garrick, de l'université de Yale, l'un des auteurs de l'étude parue dans la revue américaine Current Biology datée du 10 janvier.
Les tortues des Galapagos sont célèbres pour avoir inspiré les idées du naturaliste britannique Charles Darwin sur la théorie de l'évolution par la sélection naturelle, lors de son passage dans cette région. Ces tortues peuvent peser près de 400 kilos, mesurer plus de 1,80 mètre de long et vivre plus de cent ans. Aujourd'hui, plusieurs des treize espèces restantes de tortues des Galapagos sont considérées comme en grand danger d'extinction.
TRANSPORT PAR DES PIRATES OU DES BALEINIERS
La tortue Chelonoidis elephantopus, ou C. elephantopus, se trouvait à l'origine uniquement sur l'île de Floreana et s'était, croyait-on, éteinte peu après le voyage historique de Darwin aux Galapagos, en 1835.
Le groupe de chercheurs de Yale a détecté les toutes premières traces génétiques de ces tortues dans l'ADN de onze tortues appartenant à une autre espèce dite C. becki et vivant sur l'île d'Isabela, à proximité d'un volcan actif. Le transport de tortues d'une île à l'autre par des pirates ou des baleiniers n'était pas rare dans les années 1800, relèvent ces chercheurs.
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Mer 29 Fév 2012 - 11:40
..ça c'est une bonne nouvelle ...oui il a fallut que quelqu'un les change d'Ile.. elles ne savaient pas nager..
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Anna06 Mer 29 Fév 2012 - 11:44
Elles sont toutes belles les grosses méméres 
En effet c'est une trés bonne nouvelle
Merci Mimi pour tous ces articles interessant
En effet c'est une trés bonne nouvelle
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Anna06- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Mer 29 Fév 2012 - 11:49
..j'aime mieux apprendre cette nouvelle que celle de la tortue à 2 têtes et à 6 pattes.. la pauvre elle ne vivra pas si longtemps.. 
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Anna06 Mer 29 Fév 2012 - 11:54
Oui Lola c est clairlulu la tortue a écrit:..j'aime mieux apprendre cette nouvelle que celle de la tortue à 2 têtes et à 6 pattes.. la pauvre elle ne vivra pas si longtemps..
Anna06- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Mer 25 Avr 2012 - 16:59
Site Neo -planète (mars 2012)
Mais la nouvelle la plus sordide de ces derniers jours est la nouvelle mode lancée en Chine : des porte-clés en plastique, petits sachets de couleurs avec à l’intérieur de l’eau et de malheureux poissons ou tortues vivants qui peuvent à peine bouger. Bref, un gadget très couleur bocal ! Le tout pour 80 centimes précise le site rtl.be. Une pétition circule actuellement pour exiger du gouvernement d’interdire de telles ventes mais, connaissant le peu de cas que l’on fait des animaux en Chine, on en doute. Il n’y existe qu’une loi de protection pour les animaux sauvages, donc si les animaux concernés ne sont pas des animaux sauvages, ils tombent en dehors du champ de la loi et on peut en faire ce que l’on veut ! Regardez la vidéo avec cette pauvre petite tortue, c’est édifiant !
Mais la nouvelle la plus sordide de ces derniers jours est la nouvelle mode lancée en Chine : des porte-clés en plastique, petits sachets de couleurs avec à l’intérieur de l’eau et de malheureux poissons ou tortues vivants qui peuvent à peine bouger. Bref, un gadget très couleur bocal ! Le tout pour 80 centimes précise le site rtl.be. Une pétition circule actuellement pour exiger du gouvernement d’interdire de telles ventes mais, connaissant le peu de cas que l’on fait des animaux en Chine, on en doute. Il n’y existe qu’une loi de protection pour les animaux sauvages, donc si les animaux concernés ne sont pas des animaux sauvages, ils tombent en dehors du champ de la loi et on peut en faire ce que l’on veut ! Regardez la vidéo avec cette pauvre petite tortue, c’est édifiant !
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Mer 25 Avr 2012 - 17:09
saloperie de Chinois ça me fait mal ...que fait la loi de Washington de 1974 interdisant tous les trafics de tortues? il faut appeler Brigitte Bardot...(elle a voté FN parce que ce sont les seuls qui ont dénoncé la viande Halal..)c'est elle qui la dit ..
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Jeu 26 Avr 2012 - 10:24
Les nouvelles, sympathyco.car .Mars 2012
Un Aveyronnais élève des reptiles et un jaguar dans la forêt amazonienne
Des caïmans par dizaines, des tortues par centaines, des boas de toutes tailles et couleurs et... un jaguar: avec son élevage de crocodiles et autres reptiles de Guyane, l'Aveyronnais Jean-Pierre Austruy est le Samaritain des sauriens de la forêt amazonienne française.
L'homme est aussi singulier que ses locataires, tout droit sortis de Jurassic Park. Son royaume de 6 hectares, sur une hauteur de la jungle luxuriante à Roura, à une trentaine de kilomètres de Cayenne, est introuvable pour qui n'y est pas conduit, sur la route de Kourou.
Une piste de rocaille et de latérite grimpe à flanc de coteau et aboutit d'abord à une grande et vétuste cage que l'on croit hors d'usage. Mais il bondit contre les barreaux à votre approche: c'est Choupetto, l'imposant jaguar mâle de 11 ans, le cerbère des lieux.
Plus haut, une maison de plain pied et ses dépendances, vétuste elle aussi, ouverte aux vents et aux trombes d'eau de la saison des pluies.
En short, torse nu, cheveux en broussaille et moustache neige, un cigarillo coincé à la commissure des lèvres, apparaît le maître des lieux, qui vit ici depuis plus de trente ans avec sa compagne Véronique.
Jean-Pierre Austruy et coco.
L'accent rocailleux et chantant est celui de Millau, où il a vu le jour il y a 57 ans: "Bienvenue à Nigricollis Parc", dit-il en présentant sa ferme, du nom du plus gros cobra cracheur.
Jean-Pierre Austruy, ancien boulanger-pâtissier, mais passionné depuis le plus jeune âge par les serpents, batraciens, lézards, puis leurs grands frères caïmans, est un homme chaleureux et entier qui contre vents et marées et avec très peu de moyens, vit, comme un sacerdoce, sa passion des reptiles et des caïmans.
Monstres antédiluviens
La surface d'un grand bassin, couverte de végétation aquatique, frémit. Deux globes oculaires barrés d'un trait jaune émergent de l'eau boueuse, puis une énorme tête caparaçonnée avec une puissante gueule plantée d'incisives comme autant de poignards.
Et le corps suit. Un monstre antédiluvien de 6 mètres. C'est le caïman noir, le plus gros de l'espèce, un animal dont les origines remontent à plus de 250 millions d'années.
"J'ai ici les quatre espèces de Guyane, explique Jean-Pierre Austruy: le noir, le rouge, le gris et celui à lunettes".
En tout, quelque 90 sauriens de toutes les tailles répartis en différents bassins qui se jettent les uns sur les autres en une effrayante mêlée, à l'heure du déjeuner.
Il y a là aussi plus de 250 tortues terriennes, carnivores et omnivores, que l'on voit déchiqueter en quelques instants, comme des piranhas, un morceau de viande.
Dans plusieurs vivariums s'enroulent et se déroulent les quatre espèces de boas de Guyane: l'énorme constrictor de 3 m, le superbe émeraude, l'arc-en-ciel et celui de Cook.
580 euros par mois
Pour vivre et entretenir toute cette ménagerie, Jean-Pierre Austruy est condamné au "système D." Sa seule ressource est le RSA, soit 580 euros mensuels.
Il récupère auprès de grands distributeurs des lots de viandes dont la date de péremption est dépassée ou impropres à la consommation. Il se serre la ceinture, est toujours sur le fil du rasoir, mais s'accroche.
"On m'a mis tous les bâtons dans les roues, saisi des animaux, empêché l'ouverture au public, poursuivi en justice..., dit-il. Mais j'ai maintenant toutes les autorisations officielles de détention et d'élevage... Je vais présenter un projet de création de +ferme pédagogique+ pour obtenir des fonds européens...Je ne capitulerai jamais..."
"Sans mes animaux, je n'aurais plus de raison de vivre !"
Un Aveyronnais élève des reptiles et un jaguar dans la forêt amazonienne
Des caïmans par dizaines, des tortues par centaines, des boas de toutes tailles et couleurs et... un jaguar: avec son élevage de crocodiles et autres reptiles de Guyane, l'Aveyronnais Jean-Pierre Austruy est le Samaritain des sauriens de la forêt amazonienne française.
L'homme est aussi singulier que ses locataires, tout droit sortis de Jurassic Park. Son royaume de 6 hectares, sur une hauteur de la jungle luxuriante à Roura, à une trentaine de kilomètres de Cayenne, est introuvable pour qui n'y est pas conduit, sur la route de Kourou.
Une piste de rocaille et de latérite grimpe à flanc de coteau et aboutit d'abord à une grande et vétuste cage que l'on croit hors d'usage. Mais il bondit contre les barreaux à votre approche: c'est Choupetto, l'imposant jaguar mâle de 11 ans, le cerbère des lieux.
Plus haut, une maison de plain pied et ses dépendances, vétuste elle aussi, ouverte aux vents et aux trombes d'eau de la saison des pluies.
En short, torse nu, cheveux en broussaille et moustache neige, un cigarillo coincé à la commissure des lèvres, apparaît le maître des lieux, qui vit ici depuis plus de trente ans avec sa compagne Véronique.
Jean-Pierre Austruy et coco.
L'accent rocailleux et chantant est celui de Millau, où il a vu le jour il y a 57 ans: "Bienvenue à Nigricollis Parc", dit-il en présentant sa ferme, du nom du plus gros cobra cracheur.
Jean-Pierre Austruy, ancien boulanger-pâtissier, mais passionné depuis le plus jeune âge par les serpents, batraciens, lézards, puis leurs grands frères caïmans, est un homme chaleureux et entier qui contre vents et marées et avec très peu de moyens, vit, comme un sacerdoce, sa passion des reptiles et des caïmans.
Monstres antédiluviens
La surface d'un grand bassin, couverte de végétation aquatique, frémit. Deux globes oculaires barrés d'un trait jaune émergent de l'eau boueuse, puis une énorme tête caparaçonnée avec une puissante gueule plantée d'incisives comme autant de poignards.
Et le corps suit. Un monstre antédiluvien de 6 mètres. C'est le caïman noir, le plus gros de l'espèce, un animal dont les origines remontent à plus de 250 millions d'années.
"J'ai ici les quatre espèces de Guyane, explique Jean-Pierre Austruy: le noir, le rouge, le gris et celui à lunettes".
En tout, quelque 90 sauriens de toutes les tailles répartis en différents bassins qui se jettent les uns sur les autres en une effrayante mêlée, à l'heure du déjeuner.
Il y a là aussi plus de 250 tortues terriennes, carnivores et omnivores, que l'on voit déchiqueter en quelques instants, comme des piranhas, un morceau de viande.
Dans plusieurs vivariums s'enroulent et se déroulent les quatre espèces de boas de Guyane: l'énorme constrictor de 3 m, le superbe émeraude, l'arc-en-ciel et celui de Cook.
580 euros par mois
Pour vivre et entretenir toute cette ménagerie, Jean-Pierre Austruy est condamné au "système D." Sa seule ressource est le RSA, soit 580 euros mensuels.
Il récupère auprès de grands distributeurs des lots de viandes dont la date de péremption est dépassée ou impropres à la consommation. Il se serre la ceinture, est toujours sur le fil du rasoir, mais s'accroche.
"On m'a mis tous les bâtons dans les roues, saisi des animaux, empêché l'ouverture au public, poursuivi en justice..., dit-il. Mais j'ai maintenant toutes les autorisations officielles de détention et d'élevage... Je vais présenter un projet de création de +ferme pédagogique+ pour obtenir des fonds européens...Je ne capitulerai jamais..."
"Sans mes animaux, je n'aurais plus de raison de vivre !"
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Jeu 26 Avr 2012 - 10:43
Site Africa Presse.com (avril 2012)
Monaco accueille sept tortues offertes par l’ex-président du Mali en exil.
Le Musée océanographique de Monaco a présenté mardi sept nouveaux résidents étrangers, des tortues “sillonnées” offertes par l’ex-président du Mali Amadou Toumani Touré, désormais en exil après un coup d’Etat.
Ces tortues nées dans un centre d’élevage près de Bamako ont quitté la capitale malienne en avion le mardi 17 avril, soit deux jours avant le départ de l’ex-président en exil au Sénégal.
Amadou Toumani Touré a été renversé le 22 mars par des militaires l’accusant d’incurie dans la gestion de la crise en cours depuis mi-janvier dans le nord du Mali. Cette vaste étendue en majorité désertique est tombée sous le contrôle de rebelles touaregs et de divers mouvements armés, dont des islamistes.
Il avait offert les tortues à la mi-février au prince Albert II de Monaco, alors en visite au Mali.
L’arrivée des tortues il y a une semaine à Monaco “n’a pas été un long fleuve tranquille”, a indiqué la direction du musée dans un dossier de présentation.
Le voyage s’est fait sous la supervision d’une société de transport monégasque spécialisée dans “les zones soumises à des tensions” et grâce à “des contacts privilégiés noués au Mali”.
Les tortues “centrochelys sulcata” sont âgées de 2 à 20 ans et pèsent jusqu’à vingt kilos. Elles sont désormais logées sur le toit-terrasse du musée surplombant la Méditerranée dans un enclos de 80 m2.
La tortue sillonnée est la troisième plus grosse tortue terrestre au monde après celle des Galapagos et la tortue géante des Seychelles.
Cette espèce protégée vit dans quelques zones isolées d’une vaste bande de 500 km de large du Sahel (Mali, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigeria, Centrafrique, Tchad, Soudan et Ethiopie).
Proie des prédateurs et des hommes, victime d’un habitat naturel rétréci, elle risque de disparaître. Caractérisée par des sillons profonds sur ses écailles, cette tortue creuse des terriers en milieu naturel pour se protéger des pics de chaleur et des nuits froides.
Le Musée océanographique de Monaco (670.000 visiteurs en 2011) fait partie du Réseau tortues marines de Méditerranée française, qui s’investit dans la préservation des tortues de terre et de mer.
Monaco accueille sept tortues offertes par l’ex-président du Mali en exil.
Le Musée océanographique de Monaco a présenté mardi sept nouveaux résidents étrangers, des tortues “sillonnées” offertes par l’ex-président du Mali Amadou Toumani Touré, désormais en exil après un coup d’Etat.
Ces tortues nées dans un centre d’élevage près de Bamako ont quitté la capitale malienne en avion le mardi 17 avril, soit deux jours avant le départ de l’ex-président en exil au Sénégal.
Amadou Toumani Touré a été renversé le 22 mars par des militaires l’accusant d’incurie dans la gestion de la crise en cours depuis mi-janvier dans le nord du Mali. Cette vaste étendue en majorité désertique est tombée sous le contrôle de rebelles touaregs et de divers mouvements armés, dont des islamistes.
Il avait offert les tortues à la mi-février au prince Albert II de Monaco, alors en visite au Mali.
L’arrivée des tortues il y a une semaine à Monaco “n’a pas été un long fleuve tranquille”, a indiqué la direction du musée dans un dossier de présentation.
Le voyage s’est fait sous la supervision d’une société de transport monégasque spécialisée dans “les zones soumises à des tensions” et grâce à “des contacts privilégiés noués au Mali”.
Les tortues “centrochelys sulcata” sont âgées de 2 à 20 ans et pèsent jusqu’à vingt kilos. Elles sont désormais logées sur le toit-terrasse du musée surplombant la Méditerranée dans un enclos de 80 m2.
La tortue sillonnée est la troisième plus grosse tortue terrestre au monde après celle des Galapagos et la tortue géante des Seychelles.
Cette espèce protégée vit dans quelques zones isolées d’une vaste bande de 500 km de large du Sahel (Mali, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigeria, Centrafrique, Tchad, Soudan et Ethiopie).
Proie des prédateurs et des hommes, victime d’un habitat naturel rétréci, elle risque de disparaître. Caractérisée par des sillons profonds sur ses écailles, cette tortue creuse des terriers en milieu naturel pour se protéger des pics de chaleur et des nuits froides.
Le Musée océanographique de Monaco (670.000 visiteurs en 2011) fait partie du Réseau tortues marines de Méditerranée française, qui s’investit dans la préservation des tortues de terre et de mer.
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Jeu 26 Avr 2012 - 16:03
il st bien heureux ce monsieur avec ces élevages mais c'est sûre que ça n'a pas du se faire tout seul.. 
le Prince de Monaco a droit a des tortues sans papier...est-il capacitaire ,
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lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Anna06 Jeu 26 Avr 2012 - 16:35
Sympa les tortues à Monaco
Je vais pouvoir aller voir ces belles
Je ne sais pas si le prince est capacitaire tiens
Mais lui on lui diras rien...
Je vais pouvoir aller voir ces belles
Je ne sais pas si le prince est capacitaire tiens
Mais lui on lui diras rien...
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Jeu 26 Avr 2012 - 16:54
oui oui Anna ne loupe pas ça c'est important!! sinon on lui envoie le Douane... 
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Ven 27 Avr 2012 - 12:50
Un peu plus pour les futurs visiteurs du musée Océanographique...
Site RP public (communiqué)
Le Musée océanographique de Monaco inaugurait hier l’Ile aux Tortues
Monaco, le mercredi 25 avril 2012
Nouvel espace de 600 m² aménagé sur la terrasse panoramique : Détente, jeux, découverte des tortues sillonnées du Mali…
Inauguré le 24 avril par S.A.S la Princesse Charlène de Monaco entourée d’enfants de la Principauté (centre de loisirs Prince Albert II), « l’ Île aux Tortues » ouvre ses portes au public aujourd’hui et permet d’enrichir l’expérience de visite du Musée de manière ludique tout en sensibilisant les visiteurs à la cause des tortues de terre comme de mer (visuels en ligne : http://wp.me/pK9kb-au)
Dès aujourd’hui, le grand public peut découvrir au Musée océanographique de Monaco, ce nouvel aménagement réalisé sur la terrasse panoramique ouest offrant une vue à 360° sur Monaco, entre mer et montagne.
L’Ile aux tortues : un espace détente organisé autour de 3 pôles
Un nouveau pôle réservé au vivant : Un espace dédié à la découverte et à la protection des tortues, tortues de terre comme de mer. Les enfants pourront rencontrer les tortues sillonnées, dites aussi tortues sulcata (3eme plus grosse tortue terrestre du monde). Venant du Mali, elles sont les ambassadrices d’un monde fascinant ayant traversé plusieurs millénaires… Des panneaux d’informations sensibilisent le public à leur histoire, leur environnement, leurs besoins. Cet espace complète notre grand bac qui accueille une tortue de mer très appréciée des petits et des grands.
Un espace de jeux liés au thème de la mer : une zone ludique où les jeunes enfants ont accès à un grand jeu de 15 mètres de long représentant le squelette d’une baleine ; jeu spécialement réalisé à notre attention en « clin d’œil » au squelette de la baleine se trouvant dans nos salles du premier étage. Jeux réalisés en bois de qualité environnementale.
Une zone de détente (« lounge ») : L’offre de détente de la terrasse ouest sera complétée par la mise en place de bancs, pergolas et d’une nouvelle terrasse surélevée pour les parents où ils pourront se désaltérer, se reposer et surveiller les enfants qui profiteront pleinement de ces espaces.
Nos nouveaux hôtes, les tortues sillonnées du Mali, une histoire hors du commun :
Animaux fascinants, venant de la nuit des temps, au cœur de mythes et de légendes, l’arrivée de nos 7 tortues n’a pas été un « long fleuve tranquille ».
C’est dans le cadre des liens d’amitié et de coopération entre la République du Mali et la Principauté de Monaco que ces tortues ont été offertes à S.A.S. le Prince Albert II de Monaco en février dernier, lors d’un voyage officiel. S.A.S. le Prince Albert II a souhaité les confier au Musée océanographique pour créer un espace de découverte et de sensibilisation du public pour la protection des tortues menacées.
Appelées tortues sillonnées (elles doivent leur nom aux sillons profonds visibles sur leurs écailles), elles sont âgées de 2 à 20 ans, pesant plus de 20 kilos pour les plus grosses, elles évolueront dans un enclos paysagé de 80 m². Un sol composé de terre et de sable agrémenté de végétaux, de rocailles, de souches d’arbres et de points d’eau, leur permettra, sous le regard des visiteurs petits et grands, de se déplacer, de s’abriter, de se désaltérer et se rafraîchir.
Elles pourront également s’abriter dans « la bulle aux tortues » qui sera maintenue à une température spécifique pour les protéger des températures les plus basses. Cette bulle de 20 m² de par sa localisation et sa constitution, garantira une bonne qualité d’observation pour le public.
En accueillant une espèce de tortues menacée, le Musée conforte son rôle de sensibilisation du grand public sur la protection de la biodiversité
Robert Calcagno, Directeur général de l’Institut océanographique explique : « Protéger les espèces animales et les faire connaitre comme aimer par le grand public est un enjeu pour l’avenir. Préserver les richesses de notre planète, de toute la planète, de terre comme de mer, s’inscrit depuis toujours dans nos valeurs. La tortue sillonnée, cet animal millénaire aujourd’hui menacé, est le symbole fort que notre planète est un tout et que ce tout est essentiel et interconnecté ».
Sensibiliser le public à la cause de la tortue sillonnée permettra d’élargir la problématique à l’ensemble des tortues menacées et protégées de par le monde.
Les tortues représentent 310 espèces dans le Monde. La Méditerranée accueille 5 espèces de tortues marines sur les 8 présentes dans les océans. Une tortue sur deux est aujourd’hui menacée de disparition… du fait de l’Homme.
Auprès du grand public, le Musée océanographique a un rôle de sensibilisation et de développement des bonnes pratiques et bons gestes pour la protection des tortues… le Musée soigne aussi les tortues marines…
- l’exposition « Méditerranée » actuellement au Musée : présente la splendeur et la fragilité de notre « mare nostrum » et de sa biodiversité dont les tortues,
- le Musée océanographique est membre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée, il collecte les informations sur les tortues présentes sur ces côtes et étudie les spécimens échoués ou trouvés en mer. Les causes de la disparition des tortues sont ainsi mieux connues et des solutions sont proposées pour les protéger.
- Le Musée océanographique sauve les tortues blessées. Une fois soignés, les spécimens sont bagués puis relâchés en mer.
A propos du Musée océanographique de Monaco
Avec plus de 670 000 visiteurs en 2011, le Musée océanographique de Monaco ne cesse de développer, d’enrichir et de moderniser ses espaces réservés aux visiteurs et de les rendre plus attractifs. Il offre ainsi l’opportunité unique d’appendre et de s’émerveiller pour une meilleure connaissance des océans et de leur protection.
Le constat est fait, les scientifiques ont réalisé des inventaires qui témoignent de l’érosion de la diversité à un rythme tel qu’il est urgent d’en prendre conscience et d’agir. Protéger la biodiversité, c’est protéger les conditions de notre existence. L’Homme, grand conquérant des Mers, est responsable de cette érosion, il est capable d’y remédier.
Le Musée océanographique dispose d’atouts majeurs pour aborder la question « que va-t-il advenir de nos océans » et de la nature en général. La biodiversité est au cœur de ses initiatives et ses structures d’exposition, ses aquariums et ses espaces jeux et découverte constituent un outil remarquable de sensibilisation.[center]
Site RP public (communiqué)
Le Musée océanographique de Monaco inaugurait hier l’Ile aux Tortues
Monaco, le mercredi 25 avril 2012
Nouvel espace de 600 m² aménagé sur la terrasse panoramique : Détente, jeux, découverte des tortues sillonnées du Mali…
Inauguré le 24 avril par S.A.S la Princesse Charlène de Monaco entourée d’enfants de la Principauté (centre de loisirs Prince Albert II), « l’ Île aux Tortues » ouvre ses portes au public aujourd’hui et permet d’enrichir l’expérience de visite du Musée de manière ludique tout en sensibilisant les visiteurs à la cause des tortues de terre comme de mer (visuels en ligne : http://wp.me/pK9kb-au)
Dès aujourd’hui, le grand public peut découvrir au Musée océanographique de Monaco, ce nouvel aménagement réalisé sur la terrasse panoramique ouest offrant une vue à 360° sur Monaco, entre mer et montagne.
L’Ile aux tortues : un espace détente organisé autour de 3 pôles
Un nouveau pôle réservé au vivant : Un espace dédié à la découverte et à la protection des tortues, tortues de terre comme de mer. Les enfants pourront rencontrer les tortues sillonnées, dites aussi tortues sulcata (3eme plus grosse tortue terrestre du monde). Venant du Mali, elles sont les ambassadrices d’un monde fascinant ayant traversé plusieurs millénaires… Des panneaux d’informations sensibilisent le public à leur histoire, leur environnement, leurs besoins. Cet espace complète notre grand bac qui accueille une tortue de mer très appréciée des petits et des grands.
Un espace de jeux liés au thème de la mer : une zone ludique où les jeunes enfants ont accès à un grand jeu de 15 mètres de long représentant le squelette d’une baleine ; jeu spécialement réalisé à notre attention en « clin d’œil » au squelette de la baleine se trouvant dans nos salles du premier étage. Jeux réalisés en bois de qualité environnementale.
Une zone de détente (« lounge ») : L’offre de détente de la terrasse ouest sera complétée par la mise en place de bancs, pergolas et d’une nouvelle terrasse surélevée pour les parents où ils pourront se désaltérer, se reposer et surveiller les enfants qui profiteront pleinement de ces espaces.
Nos nouveaux hôtes, les tortues sillonnées du Mali, une histoire hors du commun :
Animaux fascinants, venant de la nuit des temps, au cœur de mythes et de légendes, l’arrivée de nos 7 tortues n’a pas été un « long fleuve tranquille ».
C’est dans le cadre des liens d’amitié et de coopération entre la République du Mali et la Principauté de Monaco que ces tortues ont été offertes à S.A.S. le Prince Albert II de Monaco en février dernier, lors d’un voyage officiel. S.A.S. le Prince Albert II a souhaité les confier au Musée océanographique pour créer un espace de découverte et de sensibilisation du public pour la protection des tortues menacées.
Appelées tortues sillonnées (elles doivent leur nom aux sillons profonds visibles sur leurs écailles), elles sont âgées de 2 à 20 ans, pesant plus de 20 kilos pour les plus grosses, elles évolueront dans un enclos paysagé de 80 m². Un sol composé de terre et de sable agrémenté de végétaux, de rocailles, de souches d’arbres et de points d’eau, leur permettra, sous le regard des visiteurs petits et grands, de se déplacer, de s’abriter, de se désaltérer et se rafraîchir.
Elles pourront également s’abriter dans « la bulle aux tortues » qui sera maintenue à une température spécifique pour les protéger des températures les plus basses. Cette bulle de 20 m² de par sa localisation et sa constitution, garantira une bonne qualité d’observation pour le public.
En accueillant une espèce de tortues menacée, le Musée conforte son rôle de sensibilisation du grand public sur la protection de la biodiversité
Robert Calcagno, Directeur général de l’Institut océanographique explique : « Protéger les espèces animales et les faire connaitre comme aimer par le grand public est un enjeu pour l’avenir. Préserver les richesses de notre planète, de toute la planète, de terre comme de mer, s’inscrit depuis toujours dans nos valeurs. La tortue sillonnée, cet animal millénaire aujourd’hui menacé, est le symbole fort que notre planète est un tout et que ce tout est essentiel et interconnecté ».
Sensibiliser le public à la cause de la tortue sillonnée permettra d’élargir la problématique à l’ensemble des tortues menacées et protégées de par le monde.
Les tortues représentent 310 espèces dans le Monde. La Méditerranée accueille 5 espèces de tortues marines sur les 8 présentes dans les océans. Une tortue sur deux est aujourd’hui menacée de disparition… du fait de l’Homme.
Auprès du grand public, le Musée océanographique a un rôle de sensibilisation et de développement des bonnes pratiques et bons gestes pour la protection des tortues… le Musée soigne aussi les tortues marines…
- l’exposition « Méditerranée » actuellement au Musée : présente la splendeur et la fragilité de notre « mare nostrum » et de sa biodiversité dont les tortues,
- le Musée océanographique est membre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée, il collecte les informations sur les tortues présentes sur ces côtes et étudie les spécimens échoués ou trouvés en mer. Les causes de la disparition des tortues sont ainsi mieux connues et des solutions sont proposées pour les protéger.
- Le Musée océanographique sauve les tortues blessées. Une fois soignés, les spécimens sont bagués puis relâchés en mer.
A propos du Musée océanographique de Monaco
Avec plus de 670 000 visiteurs en 2011, le Musée océanographique de Monaco ne cesse de développer, d’enrichir et de moderniser ses espaces réservés aux visiteurs et de les rendre plus attractifs. Il offre ainsi l’opportunité unique d’appendre et de s’émerveiller pour une meilleure connaissance des océans et de leur protection.
Le constat est fait, les scientifiques ont réalisé des inventaires qui témoignent de l’érosion de la diversité à un rythme tel qu’il est urgent d’en prendre conscience et d’agir. Protéger la biodiversité, c’est protéger les conditions de notre existence. L’Homme, grand conquérant des Mers, est responsable de cette érosion, il est capable d’y remédier.
Le Musée océanographique dispose d’atouts majeurs pour aborder la question « que va-t-il advenir de nos océans » et de la nature en général. La biodiversité est au cœur de ses initiatives et ses structures d’exposition, ses aquariums et ses espaces jeux et découverte constituent un outil remarquable de sensibilisation.[center]
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Ven 27 Avr 2012 - 14:28
belle photo.. elle n'a pas l'air lourde cette tortue..il est que le Prince est un sportif chevronné....
à Brest il y a un Océarium où l'on voit des tortues marines...ce n'est pas la même chose...
à Brest il y a un Océarium où l'on voit des tortues marines...ce n'est pas la même chose...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Admin Lun 25 Juin 2012 - 13:14
AFP- liberation de ce jour.
Sciences
«Georges le Solitaire» s'éteint, et son espèce avec lui
Âgé d'une centaine d'années, il était le dernier représentant d'une espèce distincte de tortues géantes des Galapagos.
«Georges le solitaire», la dernière tortue géante de son espèce, vivant dans une des îles de l’archipel des Galapagos, est mort dimanche, a annoncé le service du parc national des Galapagos.
L’animal était l’unique survivant de l’espèce Geochelone Abigdoni.
Les causes du décès de la tortue géante, dont l'âge était estimé à plus de cent ans - elles peuvent vivre jusqu'à 200 ans -, demeurent pour l’instant inconnues. Une nécropsie sera pratiquée ultérieurement.
«Georges le solitaire» («El Solitario Jorge») avait été découvert en 1972 sur l'île de Pinta, alors que les scientifiques pensaient que cette espèce de tortue était éteinte depuis longtemps.
Des tentatives pour assurer sa reproduction avaient toutes échoué, malgré l’introduction dans son enclos de deux tortues femelles, génétiquement proches, originaires de l'île d’Espanola, une autre île de l’archipel.
Les îles Galapagos, dans l’océan Pacifique, sont situées à environ 1 000 km des côtes sud-américaines et appartiennent à l’Equateur. Emblématiques des travaux de Charles Darwin sur l'évolution des espèces, elles abritent une faune et une flore très variées.
Sciences
«Georges le Solitaire» s'éteint, et son espèce avec lui
Âgé d'une centaine d'années, il était le dernier représentant d'une espèce distincte de tortues géantes des Galapagos.
«Georges le solitaire», la dernière tortue géante de son espèce, vivant dans une des îles de l’archipel des Galapagos, est mort dimanche, a annoncé le service du parc national des Galapagos.
L’animal était l’unique survivant de l’espèce Geochelone Abigdoni.
Les causes du décès de la tortue géante, dont l'âge était estimé à plus de cent ans - elles peuvent vivre jusqu'à 200 ans -, demeurent pour l’instant inconnues. Une nécropsie sera pratiquée ultérieurement.
«Georges le solitaire» («El Solitario Jorge») avait été découvert en 1972 sur l'île de Pinta, alors que les scientifiques pensaient que cette espèce de tortue était éteinte depuis longtemps.
Des tentatives pour assurer sa reproduction avaient toutes échoué, malgré l’introduction dans son enclos de deux tortues femelles, génétiquement proches, originaires de l'île d’Espanola, une autre île de l’archipel.
Les îles Galapagos, dans l’océan Pacifique, sont situées à environ 1 000 km des côtes sud-américaines et appartiennent à l’Equateur. Emblématiques des travaux de Charles Darwin sur l'évolution des espèces, elles abritent une faune et une flore très variées.
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue Lun 25 Juin 2012 - 14:04
oui, Mimi c'était un sacrée tortue il a connu plein de choses mais pour ce qui est des femelles !!! ce matin j'en ai entendu parlé sur la 2....tu as bien fait d'enregistrer tout le reportage...
lulu la tortue- modérateur
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