Tortues au fil de la presse et des sites.
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Manu
Anna06
lulu la tortue
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
C'est marrant, la toute dernière fois, ils l'ont encore relâchée, mais là il la retrouveront plus.
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
c'est une terrapene me semble t'il non? on voit la "charnière" avant
tortue34- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Libération
7 février 2013 à 16:56
On oblige parfois les pandas à regarder des films pornos dans l’espoir qu’ils soient excités. Cela ne marche pas vraiment et le mammifère préfère mastiquer son bout de bambou toute la journée plutôt que conter fleurette.
Malheureusement, en captivité, ce n’est pas le seul animal à avoir des soucis de reproduction. Pour les tortues du Galapagos du zoo de Londres, apparemment, c’est aussi un peu la galère, selon l’agence de presse AP. Si elles peuvent vivre 150 ans, elles ne semblent pas très pressées de se reproduire. Pour leur donner envie de se passer mutuellement la tête sous la carapace – en vrai, elles le font en levrette et le mâle donne tout – le zoo a eu l’idée de faire venir jouer Richard Clayderman. Le pianiste français, spécialiste de la musique classique de supermarché, a pianoté quelques sérénades issues de son dernier album, Romantique. Sans succès.
Les tortues l’ont regardé, stoïques, sans doute plus polies qu’intéressées, mais elles ne sont pas devenues folles de désir. En même temps, si elles ont l’âge d’avoir pratiquement connu Tchaïkovski, on les comprend de faire la fine bouche devant Richard Clayderman.
Ecouter de la musique classique peut-il aider les tortues à se reproduire ?
7 février 2013 à 16:56
Le pianiste, les tortues et l'amour
On oblige parfois les pandas à regarder des films pornos dans l’espoir qu’ils soient excités. Cela ne marche pas vraiment et le mammifère préfère mastiquer son bout de bambou toute la journée plutôt que conter fleurette.
Malheureusement, en captivité, ce n’est pas le seul animal à avoir des soucis de reproduction. Pour les tortues du Galapagos du zoo de Londres, apparemment, c’est aussi un peu la galère, selon l’agence de presse AP. Si elles peuvent vivre 150 ans, elles ne semblent pas très pressées de se reproduire. Pour leur donner envie de se passer mutuellement la tête sous la carapace – en vrai, elles le font en levrette et le mâle donne tout – le zoo a eu l’idée de faire venir jouer Richard Clayderman. Le pianiste français, spécialiste de la musique classique de supermarché, a pianoté quelques sérénades issues de son dernier album, Romantique. Sans succès.
Les tortues l’ont regardé, stoïques, sans doute plus polies qu’intéressées, mais elles ne sont pas devenues folles de désir. En même temps, si elles ont l’âge d’avoir pratiquement connu Tchaïkovski, on les comprend de faire la fine bouche devant Richard Clayderman.
Ecouter de la musique classique peut-il aider les tortues à se reproduire ?
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
faire la fine bouche devt la musique jouée par Clayderman . musique classique de Super- marché....faut pas pousser quand-même... je soupçonne les tortues d'être un peu dure d'oreille
je n'ai pas besoin de jouer du piano ni du biniou pour que mes tortues se reproduisent... le chant des oiseaux leur suffi....
je n'ai pas besoin de jouer du piano ni du biniou pour que mes tortues se reproduisent... le chant des oiseaux leur suffi....
lulu la tortue- modérateur
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tortue34- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
brave petite tortue (80kg) pourra t-elle grimper sur les plages avec ses nageoires ?
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
si c'est un male il y montera pas sur la plage et pour la femelle ,ils ont dut y penser
tortue34- Ecaille adulte
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Pour ceux qui connaissent matt, un joli site intéressant.
http://avat.ovh.org/projet/hermanni.htm
J'ai même revu le fameux tumulus qui sert d'abri d'hibernation
http://avat.ovh.org/projet/hermanni.htm
J'ai même revu le fameux tumulus qui sert d'abri d'hibernation
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
ben dis donc il a fait un sacré site c'est vrai qu'il est fort en tortues... dire qu'il est venu chez moi en chair et en os...oui j'ai reconnu le tumulus...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
C'est un sacré travail!!!
em77- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
lulu la tortue a écrit: Matt 44?
oui, tu as vu, il y a des photos à lui et son tumulus
Excellent connaisseur, le meilleur de tous les forums.
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
je me souviens de sa remarque lorsque tu lui as dit "on dirait un tumulus " il t'a répondu qu'est-ce que c'est ? pour un Breton ? de Nantes...bon c'est pardonnable...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
il va beaucoup dans les associations et refuges de tortues il apprend sur le tas...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Le dauphiné.com
25/03/2013
Traditions Le hot-dog à l’iguane au menu de Pâques
Et si pour Pâques cette année, vous innoviez ? Le gigot d’agneau reste au frigo, et cédez à la tradition nicaraguayenne… en mettant au menu de la soupe d’iguane !
Eh oui, pour Pâques au Nicaragua, on mange des iguanes et des tatous ou même des consommés de tortue. Un bon prétexte pour détourner l’interdiction religieuse de consommer de la viande rouge, malgré les risques que cela fait peser sur des espèces animales en voie d’extinction. Une des spécialités du carême est le “Pinol d’iguane”, un plat élaboré avec du maïs grillé et moulu, des légumes ainsi que de la viande et des œufs du reptile. Le tout dans un pain à hot-dog !
La rép.fr
23/03/13
Pour Pâques au Nicaragua, on mange des iguanes et des tatous
Une vendeuse d'iguanes sur un marché de Managua, au Nicaragua, le 14 mars 2013
Soupes d'iguane, consommés de tortue ou plats à base de tatou sont quelques unes des recettes exotiques dont se délectent les Nicaraguayens à Pâques pour détourner l'interdiction religieuse de consommer de la viande rouge, malgré les risques que cela fait peser sur des espèces animales en voie d'extinction.
Une des spécialités du carême est le "Pinol d'iguane", un plat élaboré avec du maïs grillé et moulu (le "pinol"), des légumes ainsi que de la viande et des oeufs de ce reptile, servi dans un pain à hot dog.
"C'est très savoureux, c'est un plat traditionnel", assure à l'AFP Manuel Zamora, qui vient d'acheter deux iguanes au Marché Oriental, un marché populaire du nord de la capitale, Managua.
"C'est excellent", confirme Emilio Aleman, un avocat pour lequel la consommation de ces animaux fait partie de la tradition culinaire locale, malgré son interdiction.
"J'aime la saveur de l'iguane, les petits oeufs sont très bons", renchérit Pedro Espinoza, un Nicaraguayen qui réside au Costa Rica, de passage au pays.
Afin d'avoir plus d'énergie, de virilité et de se "nourrir" le cerveau, les restaurants proposent la soupe aphrodisiaque "Levanta Muerto" (A réveiller les morts), confectionnée à base de viande de "garrobo", un reptile semblable à l'iguane, de cervelle, de moelle, de testicules de taureau et dans certains cas, de fruits de mer.
"J'adore les testicules de taureau", clame Jose Cordoba, friand de cette soupe, très demandée par les hommes âgés et dans le quartier d'affaires de la capitale.
"Ils la mangent pour se nourrir le cerveau", explique Miriam Sirias, patronne d'une cantine dans le marché Roberto Huembes, à l'est de Managua, mais ils l'utilisent aussi beaucoup "comme aphrodisiaque", ajoute une autre cuisinière, Cristina Gutierrez.
La viande de tatou est également prisée, malgré les avertissements d'experts affirmant qu'elle peut être porteuse de la bactérie de la lèpre. Mais le "garrobo" reste la préférée des Nicaraguayens, qui lui attribuent des vertus pour lutter contre le cancer, le diabète ou l'anémie, entre autres.
Des oeufs de tortues sur un marché de Managua, au Nicaragua, le 14 mars 2013
La tortue, de son côté, protégée depuis 2005, est consommée sur la côte Atlantique et entre dans la composition de plats typiques comme cette soupe comprenant de la tortue, du poisson, du taureau, du lait de coco et des légumes.
Mais la forte demande engendre des captures massives de ces animaux natifs des zones tropicales, ensuite acheminés sur les marchés pour y être tués et vendus, malgré l'interdiction de chasse les concernant au cours de leur période de reproduction, de septembre à avril.
"Il n'y a aucune raison" qui justifie le sacrifice de ces animaux, proteste le président de la Fondation environnementale air, mer, terre (Amarte), l'uruguayen Enrique Rimbaud, dont l'ONG recueille des signatures pour demander au Congrès qu'il déclare au patrimoine national 187 espèces en voie d'extinction.
Une douzaine de ces animaux sont chassés au Nicaragua pour être mangés, parmi lesquels le poisson Gaspar, dont "on pêche des tonnes pendant le carême", regrette le défenseur de l'environnement Fabio Buitrago.
25/03/2013
Traditions Le hot-dog à l’iguane au menu de Pâques
Et si pour Pâques cette année, vous innoviez ? Le gigot d’agneau reste au frigo, et cédez à la tradition nicaraguayenne… en mettant au menu de la soupe d’iguane !
Eh oui, pour Pâques au Nicaragua, on mange des iguanes et des tatous ou même des consommés de tortue. Un bon prétexte pour détourner l’interdiction religieuse de consommer de la viande rouge, malgré les risques que cela fait peser sur des espèces animales en voie d’extinction. Une des spécialités du carême est le “Pinol d’iguane”, un plat élaboré avec du maïs grillé et moulu, des légumes ainsi que de la viande et des œufs du reptile. Le tout dans un pain à hot-dog !
La rép.fr
23/03/13
Pour Pâques au Nicaragua, on mange des iguanes et des tatous
Une vendeuse d'iguanes sur un marché de Managua, au Nicaragua, le 14 mars 2013
Soupes d'iguane, consommés de tortue ou plats à base de tatou sont quelques unes des recettes exotiques dont se délectent les Nicaraguayens à Pâques pour détourner l'interdiction religieuse de consommer de la viande rouge, malgré les risques que cela fait peser sur des espèces animales en voie d'extinction.
Une des spécialités du carême est le "Pinol d'iguane", un plat élaboré avec du maïs grillé et moulu (le "pinol"), des légumes ainsi que de la viande et des oeufs de ce reptile, servi dans un pain à hot dog.
"C'est très savoureux, c'est un plat traditionnel", assure à l'AFP Manuel Zamora, qui vient d'acheter deux iguanes au Marché Oriental, un marché populaire du nord de la capitale, Managua.
"C'est excellent", confirme Emilio Aleman, un avocat pour lequel la consommation de ces animaux fait partie de la tradition culinaire locale, malgré son interdiction.
"J'aime la saveur de l'iguane, les petits oeufs sont très bons", renchérit Pedro Espinoza, un Nicaraguayen qui réside au Costa Rica, de passage au pays.
Afin d'avoir plus d'énergie, de virilité et de se "nourrir" le cerveau, les restaurants proposent la soupe aphrodisiaque "Levanta Muerto" (A réveiller les morts), confectionnée à base de viande de "garrobo", un reptile semblable à l'iguane, de cervelle, de moelle, de testicules de taureau et dans certains cas, de fruits de mer.
"J'adore les testicules de taureau", clame Jose Cordoba, friand de cette soupe, très demandée par les hommes âgés et dans le quartier d'affaires de la capitale.
"Ils la mangent pour se nourrir le cerveau", explique Miriam Sirias, patronne d'une cantine dans le marché Roberto Huembes, à l'est de Managua, mais ils l'utilisent aussi beaucoup "comme aphrodisiaque", ajoute une autre cuisinière, Cristina Gutierrez.
La viande de tatou est également prisée, malgré les avertissements d'experts affirmant qu'elle peut être porteuse de la bactérie de la lèpre. Mais le "garrobo" reste la préférée des Nicaraguayens, qui lui attribuent des vertus pour lutter contre le cancer, le diabète ou l'anémie, entre autres.
Des oeufs de tortues sur un marché de Managua, au Nicaragua, le 14 mars 2013
La tortue, de son côté, protégée depuis 2005, est consommée sur la côte Atlantique et entre dans la composition de plats typiques comme cette soupe comprenant de la tortue, du poisson, du taureau, du lait de coco et des légumes.
Mais la forte demande engendre des captures massives de ces animaux natifs des zones tropicales, ensuite acheminés sur les marchés pour y être tués et vendus, malgré l'interdiction de chasse les concernant au cours de leur période de reproduction, de septembre à avril.
"Il n'y a aucune raison" qui justifie le sacrifice de ces animaux, proteste le président de la Fondation environnementale air, mer, terre (Amarte), l'uruguayen Enrique Rimbaud, dont l'ONG recueille des signatures pour demander au Congrès qu'il déclare au patrimoine national 187 espèces en voie d'extinction.
Une douzaine de ces animaux sont chassés au Nicaragua pour être mangés, parmi lesquels le poisson Gaspar, dont "on pêche des tonnes pendant le carême", regrette le défenseur de l'environnement Fabio Buitrago.
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
ils appellent ça faire Carême ? n'importe quoi et les tortues ces pauvres bêtes qui ne demandaient qu'à vivre.....ainsi que toutes les autres..on n'y pourra rien de toutes façons c'est dans leur culture...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Une histoire qui a fait le tour du monde en quelques jours.
Liberation
31 juillet 2013 à 12:01
Il grime sa tortue en burger pour lui faire prendre l'avion
Le plan de M. Li semblait sans faille. C'était hélas sans compter sur la sagacité des employés de l'aéroport.
Un Chinois souhaitant prendre l’avion avec sa tortue de compagnie a tenté de se jouer des contrôles de sécurité en déguisant son petit animal en hamburger, mais sa ruse a échoué, a rapporté la presse mercredi.
L’homme, identifié sous le nom de M. Li, s’est présenté lundi matin à l’aéroport international de Canton pour embarquer sur le vol de la compagnie China Southern Airlines à destination de Pékin, relate le Quotidien de Canton. Au moment de passer le contrôle de sécurité, le personnel préposé au scanner à rayons X a remarqué des protubérances suspectes dépassant du burger que le passager venait d’acheter chez KFC. Il s’agissait des pattes de l’animal.
«C’est juste mon hamburger», a d’abord affirmé M. Li, sommé d’ouvrir l’emballage. Mais les fonctionnaires aéroportuaires ne se sont pas laissés abuser par l’habile camouflage en forme de pain brioché. L'intéressé a finalement été obligé de laisser à Canton son placide animal familier.
Liberation
31 juillet 2013 à 12:01
Il grime sa tortue en burger pour lui faire prendre l'avion
Le plan de M. Li semblait sans faille. C'était hélas sans compter sur la sagacité des employés de l'aéroport.
Un Chinois souhaitant prendre l’avion avec sa tortue de compagnie a tenté de se jouer des contrôles de sécurité en déguisant son petit animal en hamburger, mais sa ruse a échoué, a rapporté la presse mercredi.
L’homme, identifié sous le nom de M. Li, s’est présenté lundi matin à l’aéroport international de Canton pour embarquer sur le vol de la compagnie China Southern Airlines à destination de Pékin, relate le Quotidien de Canton. Au moment de passer le contrôle de sécurité, le personnel préposé au scanner à rayons X a remarqué des protubérances suspectes dépassant du burger que le passager venait d’acheter chez KFC. Il s’agissait des pattes de l’animal.
«C’est juste mon hamburger», a d’abord affirmé M. Li, sommé d’ouvrir l’emballage. Mais les fonctionnaires aéroportuaires ne se sont pas laissés abuser par l’habile camouflage en forme de pain brioché. L'intéressé a finalement été obligé de laisser à Canton son placide animal familier.
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
pauvre homme et pauvre tortue j'avais lu ça sur Ouest-france......on ne badine pas dans les aéroports...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Midi Libre
le 02/08/2013
Étrange sauvetage, mercredi soir, pour les pompiers de Fournès. Pendant toute une nuit, les soldats du feu ont pouponné une petite tortue.
La malheureuse agonisait sur le bord d’une route de Fournès lorsqu’un habitant est venu lui porter secours. Direction la caserne des pompiers, où les secours l’ont prise en charge. "Le vétérinaire nous a dit de la garder au chaud jusqu’à demain (jeudi matin, Ndlr). On s’en est occupé toute la nuit", explique l’un d’eux.
Chouchouté, rafraîchi avec de l’eau, nourri avec des fruits et des légumes, l’animal d’une trentaine de centimètres a rejoint, hier matin, le centre d’hébergement de Vergèze, géré par l’association Tortue passion. C’est là, à l’infirmerie, qu’il se refait une santé.
La tortue, accidentée à Fournès, est soignée à Vergèze.
"Certaines années, 1 900 000 tortues de Floride étaient importées en France", Suzette Bessede
Car la tortue est sérieusement amochée. "Elle a dû se faire écraser par une voiture, note Suzette Bessede, la secrétaire de l’association, passionnée par ces animaux. Elle a le plastron blessé et l’oeil qui sort de l’orbite. On lui a appliqué un antiseptique, mais j’ai peur qu’elle soit mal barrée...", note-t-elle, peu optimiste pour la bête d’une dizaine d’années et d’environ deux kilos.
Tous fous des tortues de Floride
Comme elle, près de 900 tortues coulent actuellement des jours paisibles entre les lacs et les étangs du centre, dont 800 tortues de Floride. Un reptile originaire de l’Est des États-Unis et qui, a priori n’avait pas grand chose à faire en France.
C’était sans compter sur l’arrivée massive de ces bêtes à partir de 1998. "Une grande folie. Les tortues se gagnaient pour un franc dans les fêtes foraines. Des fermes d’élevage se sont même créées en France pour faire de l’incubation intensive. Sans compter les importations. On était le deuxième importateur mondial après la Chine. Certaines années, 1 900 000 tortues sont arrivées chez nous." Parmi elles, beaucoup de tortues à tempes rouges - comme celle recueillie -, l’une des 27 espèces de la tortue de Floride.
Des espèces pouvant atteindre une trentaine de centimètres
"Les gens en ont acheté, en pensant que c’était une espèce naine, alors qu’en fait, elle peuvent atteindre trente centimètres et ne peuvent pas continuer à vivre en aquarium." Résultat : beaucoup s’en débarrassent dans la nature, contribuant à densifier la population de la Camargue. Un animal carnivore et aquatique, qui a une espérance de vie d’une trentaine d’années et qui dévore grenouilles, poissons et canetons.
Pour l’heure, l’accidentée de Fournès reprend des forces grâce aux croquettes pour chiots des bénévoles.
[/b]
Croquettes pour chiots, fruits et légumes...ben voilà un menu folklo
le 02/08/2013
Fournès : une tortue de Floride secourue par les pompiers
Étrange sauvetage, mercredi soir, pour les pompiers de Fournès. Pendant toute une nuit, les soldats du feu ont pouponné une petite tortue.
La malheureuse agonisait sur le bord d’une route de Fournès lorsqu’un habitant est venu lui porter secours. Direction la caserne des pompiers, où les secours l’ont prise en charge. "Le vétérinaire nous a dit de la garder au chaud jusqu’à demain (jeudi matin, Ndlr). On s’en est occupé toute la nuit", explique l’un d’eux.
Chouchouté, rafraîchi avec de l’eau, nourri avec des fruits et des légumes, l’animal d’une trentaine de centimètres a rejoint, hier matin, le centre d’hébergement de Vergèze, géré par l’association Tortue passion. C’est là, à l’infirmerie, qu’il se refait une santé.
La tortue, accidentée à Fournès, est soignée à Vergèze.
"Certaines années, 1 900 000 tortues de Floride étaient importées en France", Suzette Bessede
Car la tortue est sérieusement amochée. "Elle a dû se faire écraser par une voiture, note Suzette Bessede, la secrétaire de l’association, passionnée par ces animaux. Elle a le plastron blessé et l’oeil qui sort de l’orbite. On lui a appliqué un antiseptique, mais j’ai peur qu’elle soit mal barrée...", note-t-elle, peu optimiste pour la bête d’une dizaine d’années et d’environ deux kilos.
Tous fous des tortues de Floride
Comme elle, près de 900 tortues coulent actuellement des jours paisibles entre les lacs et les étangs du centre, dont 800 tortues de Floride. Un reptile originaire de l’Est des États-Unis et qui, a priori n’avait pas grand chose à faire en France.
C’était sans compter sur l’arrivée massive de ces bêtes à partir de 1998. "Une grande folie. Les tortues se gagnaient pour un franc dans les fêtes foraines. Des fermes d’élevage se sont même créées en France pour faire de l’incubation intensive. Sans compter les importations. On était le deuxième importateur mondial après la Chine. Certaines années, 1 900 000 tortues sont arrivées chez nous." Parmi elles, beaucoup de tortues à tempes rouges - comme celle recueillie -, l’une des 27 espèces de la tortue de Floride.
Des espèces pouvant atteindre une trentaine de centimètres
"Les gens en ont acheté, en pensant que c’était une espèce naine, alors qu’en fait, elle peuvent atteindre trente centimètres et ne peuvent pas continuer à vivre en aquarium." Résultat : beaucoup s’en débarrassent dans la nature, contribuant à densifier la population de la Camargue. Un animal carnivore et aquatique, qui a une espérance de vie d’une trentaine d’années et qui dévore grenouilles, poissons et canetons.
Pour l’heure, l’accidentée de Fournès reprend des forces grâce aux croquettes pour chiots des bénévoles.
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Croquettes pour chiots, fruits et légumes...ben voilà un menu folklo
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
oh! et bien elle est bien là-bas avec ses congénères...
lulu la tortue- modérateur
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Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Petit retour en arrière.....
Nice matin
octobre 2012
Gonfaron ›
Sept tortues terrestres ont pris l'avion pour Dakar
Les centrochelys sulcata ont quitté Nice pour un vol à destination de leur pays, le Sénégal. Un retour aux sources mis en place par l’équipe du Village des tortues de Gonfaron dans le Var
Un voyage de quatre mille kilomètres. Au rythme d'une tortue, cela aurait pu prendre du temps. Heureusement, les sept centrochelys sulcata, ou tortues sillonnées, ont emprunté les voies aériennes pour retrouver leur terre d'origine, le Sénégal. Et sont enfin arrivées à Dakar par un vol de fret de la Lufthansa. Ce sont Bernard Devaux, le directeur du village des tortues de Gonfaron, et Nicolas Jardé, le responsable animalier, qui les avaient accompagnées à l'aéroport de Nice.
« Ces bêtes-là n'ont rien à faire en Europe », s'insurge le fondateur du parc, qui les reconduit à la frontière. Pour leur bien : « C'est une espèce qui a beaucoup souffert du commerce (légal pour cette race, ndlr) et du ramassage. Les gens aiment bien les tortues, mais ils les mettent en captivité. Lorsqu'ils ne peuvent plus s'en occuper, ils les amènent chez nous, car nous sommes le seul centre agréé du sud de la France. »
Deux ans de procédure
Le rapatriement vers le Sénégal des sept tortues a été permis par la Station d'observation et de protection des tortues et de leur milieu, dite Village des tortues de Gonfaron.
Au parc de Gonfaron, les tortues sont soignées, réacclimatées à ce qui s'approche le plus de la vie sauvage. Dans le but de les réintroduire dans leurs pays d'origine. Et, grâce au Village des tortues, créé par l'association à Noflaye, au Sénégal, plus de trente-cinq sulcata ont déjà été relâchées en une dizaine d'années. « C'est plus facile pour les trafiquants de les faire rentrer que pour nous de les ramener chez elles ! », assure Nicolas Jardé.
Il a, en effet, fallu plus de deux ans à Bernard Devaux et à ses équipes pour obtenir les autorisations sanitaires nécessaires au rapatriement de ces reptiles. Et le directeur raconte : « La première fois, le douanier africain a même indiqué "export" sur les papiers. Il était surpris lorsque je lui ai expliqué qu'il s'agissait, au contraire, d'import. »
Réintroduction parfois impossible
Des « sillonnées » du Sénégal, il en reste donc encore une quarantaine au village de Gonfaron. Sans compter les plus de mille bêtes représentant quarante espèces, résidentes temporaires du village.
« Notre objectif est de les réintroduire dans leur région d'origine,explique Nicolas Jardé. Soit par nos parcs au Sénégal et à Madagascar ; soit en partenariat avec d'autres structures. » Le message du responsable animalier est clair : « Ce n'est parce qu'elles sont en vente qu'il faut en acheter. » Autrement dit ces animaux sauvages n'ont rien à faire en captivité.
À tel point que certains ne pourront jamais être réintroduits, car éloignés depuis trop longtemps de la nature.
Pour les sept voyageuses, l'avenir semble meilleur. Elles passeront, certes, un an avec leurs congénères de Noflaye, en quarantaine puis en réacclimatation. Mais, d'ici à un an, elles devraient pouvoir rejoindre leur habitat privilégié.
Nice matin
octobre 2012
Gonfaron ›
Sept tortues terrestres ont pris l'avion pour Dakar
Les centrochelys sulcata ont quitté Nice pour un vol à destination de leur pays, le Sénégal. Un retour aux sources mis en place par l’équipe du Village des tortues de Gonfaron dans le Var
Un voyage de quatre mille kilomètres. Au rythme d'une tortue, cela aurait pu prendre du temps. Heureusement, les sept centrochelys sulcata, ou tortues sillonnées, ont emprunté les voies aériennes pour retrouver leur terre d'origine, le Sénégal. Et sont enfin arrivées à Dakar par un vol de fret de la Lufthansa. Ce sont Bernard Devaux, le directeur du village des tortues de Gonfaron, et Nicolas Jardé, le responsable animalier, qui les avaient accompagnées à l'aéroport de Nice.
« Ces bêtes-là n'ont rien à faire en Europe », s'insurge le fondateur du parc, qui les reconduit à la frontière. Pour leur bien : « C'est une espèce qui a beaucoup souffert du commerce (légal pour cette race, ndlr) et du ramassage. Les gens aiment bien les tortues, mais ils les mettent en captivité. Lorsqu'ils ne peuvent plus s'en occuper, ils les amènent chez nous, car nous sommes le seul centre agréé du sud de la France. »
Deux ans de procédure
Le rapatriement vers le Sénégal des sept tortues a été permis par la Station d'observation et de protection des tortues et de leur milieu, dite Village des tortues de Gonfaron.
Au parc de Gonfaron, les tortues sont soignées, réacclimatées à ce qui s'approche le plus de la vie sauvage. Dans le but de les réintroduire dans leurs pays d'origine. Et, grâce au Village des tortues, créé par l'association à Noflaye, au Sénégal, plus de trente-cinq sulcata ont déjà été relâchées en une dizaine d'années. « C'est plus facile pour les trafiquants de les faire rentrer que pour nous de les ramener chez elles ! », assure Nicolas Jardé.
Il a, en effet, fallu plus de deux ans à Bernard Devaux et à ses équipes pour obtenir les autorisations sanitaires nécessaires au rapatriement de ces reptiles. Et le directeur raconte : « La première fois, le douanier africain a même indiqué "export" sur les papiers. Il était surpris lorsque je lui ai expliqué qu'il s'agissait, au contraire, d'import. »
Réintroduction parfois impossible
Des « sillonnées » du Sénégal, il en reste donc encore une quarantaine au village de Gonfaron. Sans compter les plus de mille bêtes représentant quarante espèces, résidentes temporaires du village.
« Notre objectif est de les réintroduire dans leur région d'origine,explique Nicolas Jardé. Soit par nos parcs au Sénégal et à Madagascar ; soit en partenariat avec d'autres structures. » Le message du responsable animalier est clair : « Ce n'est parce qu'elles sont en vente qu'il faut en acheter. » Autrement dit ces animaux sauvages n'ont rien à faire en captivité.
À tel point que certains ne pourront jamais être réintroduits, car éloignés depuis trop longtemps de la nature.
Pour les sept voyageuses, l'avenir semble meilleur. Elles passeront, certes, un an avec leurs congénères de Noflaye, en quarantaine puis en réacclimatation. Mais, d'ici à un an, elles devraient pouvoir rejoindre leur habitat privilégié.
Dernière édition par Admin le Mar 22 Oct 2013 - 10:53, édité 2 fois
Re: Tortues au fil de la presse et des sites.
Ouest-France
25 septembre 2013
Une tortue luth récupérée dans un filet de pêcheur
Une tortue luth d’environ 500 kg a été secourue par les pompiers de La Turballe alors qu’elle venait d’être pêchée par un bateau de Piriac, cette nuit peu avant 3 h. Elle a pu être sortie du petit bateau côtier à l’aide d’une grue, sur le quai de La Turballe puis remise à l’eau sur la plage à côté du port. Elle était affaiblie mais est repartie après avoir repris ses esprits, peu avant 7 h.
Petit rappel :
La tortue luth est la plus grosse espèce de tortue sur la terre aujourd’hui. Elle peut atteindre 2,5 m (8,2 pi) de longueur et peser 680 kg (1 500 lb). Contrairement aux autres tortues, la tortue luth n'a pas de revêtement corné. Elle a plutôt une carapace constituée de centaines de plaques osseuses irrégulières recouvertes d'une peau épaisse et coriace.
Ce reptile est très bien adapté à la vie aquatique. Ses pattes de devant ont la forme de puissantes nageoires, plus longues en proportion que celles de toute autre tortue des mers, qui le propulsent dans l’eau. Il se nourrit de méduses et d'autres animaux marins à corps mous, ainsi que de plantes.
La ponte a lieu de février à juillet, au moment où les femelles vont en bandes sur les côtes et pondent de 60 à 90 œufs dans des trous qu'elles ont creusés dans le sable. Sept semaines plus tard les œufs éclosent et les petites tortues se précipitent vers la mer. Les nouveau-nés mesurent en moyenne 61 mm (2,4 po) et pèsent 45,8 g (1,6 oz).
Ces tortues rares ont la plus grande aire de répartition de tous les reptiles. Elles vivent dans les mers tropicales et tempérées et se reproduisent au large des côtes des Antilles, de la Floride, du nord-est de l'Amérique du Sud, du Sénégal, de Madagascar, du Sri Lanka et de la Malaisie péninsulaire. Elles migrent bien au-delà des tropiques et ont été observées aussi loin au nord que le sud de l’Alaska et de la Russie dans le Pacifique, et à mi-hauteur du Labrador (Canada) et en Norvège dans l’Atlantique. Leur migration vers le sud les amène jusqu’au Chili et au sud de l’Australie.
Où vit cet animal? Afrique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie, Australie, Europe, Océan Atlantique, Océan Indien, Océan Pacifique.
25 septembre 2013
Une tortue luth récupérée dans un filet de pêcheur
Une tortue luth d’environ 500 kg a été secourue par les pompiers de La Turballe alors qu’elle venait d’être pêchée par un bateau de Piriac, cette nuit peu avant 3 h. Elle a pu être sortie du petit bateau côtier à l’aide d’une grue, sur le quai de La Turballe puis remise à l’eau sur la plage à côté du port. Elle était affaiblie mais est repartie après avoir repris ses esprits, peu avant 7 h.
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Petit rappel :
La tortue luth est la plus grosse espèce de tortue sur la terre aujourd’hui. Elle peut atteindre 2,5 m (8,2 pi) de longueur et peser 680 kg (1 500 lb). Contrairement aux autres tortues, la tortue luth n'a pas de revêtement corné. Elle a plutôt une carapace constituée de centaines de plaques osseuses irrégulières recouvertes d'une peau épaisse et coriace.
Ce reptile est très bien adapté à la vie aquatique. Ses pattes de devant ont la forme de puissantes nageoires, plus longues en proportion que celles de toute autre tortue des mers, qui le propulsent dans l’eau. Il se nourrit de méduses et d'autres animaux marins à corps mous, ainsi que de plantes.
La ponte a lieu de février à juillet, au moment où les femelles vont en bandes sur les côtes et pondent de 60 à 90 œufs dans des trous qu'elles ont creusés dans le sable. Sept semaines plus tard les œufs éclosent et les petites tortues se précipitent vers la mer. Les nouveau-nés mesurent en moyenne 61 mm (2,4 po) et pèsent 45,8 g (1,6 oz).
Ces tortues rares ont la plus grande aire de répartition de tous les reptiles. Elles vivent dans les mers tropicales et tempérées et se reproduisent au large des côtes des Antilles, de la Floride, du nord-est de l'Amérique du Sud, du Sénégal, de Madagascar, du Sri Lanka et de la Malaisie péninsulaire. Elles migrent bien au-delà des tropiques et ont été observées aussi loin au nord que le sud de l’Alaska et de la Russie dans le Pacifique, et à mi-hauteur du Labrador (Canada) et en Norvège dans l’Atlantique. Leur migration vers le sud les amène jusqu’au Chili et au sud de l’Australie.
Où vit cet animal? Afrique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie, Australie, Europe, Océan Atlantique, Océan Indien, Océan Pacifique.
Dernière édition par Admin le Mar 22 Oct 2013 - 10:51, édité 1 fois
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